Episode 30 : Prisonniers


Voix-off : Du coeur de la montagne mystérieuse où vit l'étrange tribue des Olmèques, des torrents s'écoulent au travers des grottes.


Scène 1

Toute la bande est prisonnière des Olmèques. Calmèque les conduit devant le grand cristal central.
Esteban : C'est encore plus haut que la tour du port de Barcelone.
Calmeque : C'est un cristal aux propriétés particulières qu'un savant, un de nos ancêtres, a réussit à exploiter.
Tao : Ce n'est qu'un simple cristal.
Calmeque : Oui mais un cristal qui s'unit à la lumière et à la chaleur terrestre pour produire de l'énergie.
Sancho : (à Pedro) He, t-t-t-t'y comprends quelque chose toi ?
Pedro : Bah oui voyons ! Il s'agit d'une source d'énergie extrèmement puissante. Voilà ! Enfin c'est ... Enfin j'ai rien compris.
Sancho : He bah b-b-bah m-m-moi non p-p-plus.
Esteban et Tao s'émerveillent. Calmèque surveille les Olmèques qui contrôlent le fonctionnement du cristal.
Calmeque : Attention, la puissance devient trop forte. Ouvrez la pompe immédiatement. Bien ! De l'autre côté aussi. Tout de suite ! Maintenant refermez la soupape de sureté !
Des Olmèques tournent des manettes.
Calmeque : Au fond le principe est très simple. En augmentant la puissance au coeur de cette tour de cristal, nous pouvons faire exploser le volcan et changer le climat.
Esteban : Faire exploser le volcan et changer le climat ?
Tao : Ce qu'il dit est tout à fait possible. J'ai lu quelque chose là-dessus dans mon encyclopédie. Un accident semblable s'est déjà produit à la suite d'une erreur de manipulation.
Sancho : Oh ! C'est donc s-s-si dangereux que ç-ç-ç-ç-ça ?
Calmeque : Je vois que vous comprenez quelle est notre puissance. Je vous conseille vivement de collaborer avec nous et de ne pas chercher à vous échapper en vain.
Esteban : Collaborer avec vous ?


Scène 2

Dans le temple souterrain.
Calmeque : Maître ! Voici les étrangers comme vous l'avez demandé.
Le mur du fond, qui représente un étrange visage, s'ouvre, et un fauteuil sur lequel est assis un vieillard s'avance.
Esteban : Ah, cette fois je comprends comment il a fait pour disparaître soudain de la pièce quand on était là hier soir.
Tao : Ouais.
Menator : J'ai le sentiment que la base secrète des Ommèques vous intéresse vivement.
Mendoza : Nous ne sommes que des voyageurs, nous n'avons aucune intention de faire du mal à votre pays. Relâchez-nous !
Calmeque : Taisez-vous ! Parlez seulement quand on vous adresse la parole !
Menator : Contentez-vous de répondre aux questions que nous avons à vous poser ! Qu'on apporte l'objet !
Calmeque : Bien. Tu peux entrer Maïna.
Une porte sur le côté de la pièce s'ouvre et une jeune fille portant l'encyclopédie et le vase de Tao entre. Pichu l'accompagne.
Pichu : Esteban ! Esteban ! Tao ! Tao ! Tao ! Esteban ! Tao !
Tao : Oh regardez, Pichu ! Et mon vase est là aussi ! Oh Pichu ! Oh mon vieux Pichu, où étais-tu passé ? Ah, ça me fait drôlement plaisir de te revoir, tu sais. Vous allez me rendre mon vase, n'est-ce pas ?
Menator : Ca fait partie des choses possibles. Mais d'abord tu vas nous dire ce que signifie ce vase.
Tao : Oh, je ne peux pas vous le dire, je n'en sais rien moi-même.
Menator : Pourquoi alors y es-tu tellement attaché ?
Tao : Parce que c'est le seul trésor qui m'est resté de l'héritage de mes ancêtres.
Menator : Montre-moi comment tu l'ouvres !
Tao : Mais je n'ai jamais réussi à l'ouvrir, je ne sais pas.
Menator : Tu dis bien la vérité ?
Tao : Ah, mais je vous jure que oui, enfin ! J'ai essayé de l'ouvrir, plusieurs fois, et j'ai jamais réussi.
Esteban : Tao vous dit la vérité. Il faut croire ce qu'il vous dit.
Menator : Soit ! Je veux l'admettre, mais pour prouver votre bonne foi, dites-moi ce que vous savez des cités d'or. (à Mendoza) Vous qui vouliez parler, c'est le moment maintenant. Répondez !
Mendoza : D'accord, je veux bien vous dire tout ce que je sais. Mais je dois vous prévenir que ce n'est pas grand chose.
Menator : Comment ?
Mendoza : Croyez-vous que je me promènerais dans votre montagne si je connaissais le secret des cités d'or ?
Calmeque : Assez raisonné ! Tu vas répondre immédiatement.
Menator : (à Calmèque) Non, laisse-le ! (à Mendoza) Vous devez savoir que le traitement qui vous sera réservé depend de la réponse que vous allez faire.
Mendoza : Mais voyons, bon sang ! Je ne peux pas vous dire ce que je ne sais pas !
Menator : Commandant Calmèque.
Calmeque : Oui.
Menator : Je te confie les prisonniers. Garde-t-en à toi même les adultes, quant aux enfants, remet-les aux infirmiers.
Calmeque : Bien maître.
Maïna s'en retourne avec le vase et l'encyclopédie.
Tao : Attendez, ne partez pas ! Rendez-moi d'abord mon encyclopédie ! Et mon vase !
Pichu : Tao ! Tao ! Tao !
Tao se fait attraper par des soldats.
Tao : Allez-vous me lâcher ? Mais lâchez-moi bande de brutes !
Calmeque : (à Tao) Calme-toi un peu !
Esteban : (à Maïna) Attendez !
Tao : Ah !
La porte se referme derrière Maïna. Esteban tape dessus.
Esteban : Ce vase n'est pas à vous. Vous n'avez pas le droit. Ouvrez cette porte tout de suite ! Ouvrez la porte !
Une bande d'Olmèques se précipite sur Esteban.
Calmeque : Emparez-vous de lui !
Esteban essaie de fuir face aux olmèques.
Zia : Esteban !
Tao : Attends, Esteban !
Alors qu'il saute par dessus des Olmèques, un rayon vient frapper Esteban en plein vol et l'enfant retombe lourdement par terre.
Esteban : Ah !
Mendoza : Oh !
Zia : Esteban, qu'est-ce qu'ils t'ont fait ? (apeurée) Esteban ! Esteban ! Ho Esteban !
Tao : Mais ils sont complètement fous. Et pourquoi avez vous fait ça ? Il ne vous menaçait pas.
Calmeque : N'aie pas peur pour ton ami ! Il a perdu connaissance à cause du choc. Allez, conduisez-les chez les infirmiers !
Mendoza : Vous n'êtes que des brutes !
Calmeque : Ne m'obligez pas à vous donner une raison de le répéter !


Scène 3

Mendoza, Sancho et Pedro sont conduits dans les bas fonds par Calmèque. Là, un Olmèque rabougri les attends.
Calmeque : Je t'apporte la main d'oeuvre que tu attends. Mets-les moi au travail !
Olmeque : Avec joie ! Vous ne savez à quel point vous allez pouvoir m'aider. Oui, vraiment vous allez m'être d'une aide précieuse. Tous les Olmèques refusent de faire ce travail là.
Mendoza : Explique-nous au moins quel est ce travail.
Calmeque : Il s'agit simplement de nettoyer le réservoir.
Olmeque : He he he he he ...
Calmeque : C'est un travail agréable, vous verez. Et ce sera le vôtre jusqu'à la fin de vos jours. Vous allez piétinier dans la boue, les vers et l'eau grisâtre. Allons ! Assez bavardé ! Au travail maintenant ! La cuve du réservoir d'évacuation vous attend.
Olmeque : Ha ha ha ha ...


Scène 4

Dans l'infirmerie, les trois enfants sont allongés sur des civières.
Zia : Esteban ! Esteban ! Est-ce que tu m'entends, Esteban ?
Tao : Réveille-toi Esteban ! Réveille-toi ! Je t'en prie, Esteban ! He, vous autres, vous pourriez vous occuper de lui, non ?
Olmeque : Ne vous inquiétez pas ! Il est simplement paralysé par la radiation qui l'a frappé.
Tao : Hein ? Le rayon qui l'a frappé était donc une radiation capable de paralyser un homme ?


Scène 5

Menator dans une grande salle.
Menator : On va donc enfin les avoir, ces cellules jeunes qu'on attend depuis si longtemps. On va pouvoir d'abord procéder à leur multiplication, et on pourra les transplanter sur nos vieillards afin de les rajeunir.
Maïna entre.
Maïna : Le commandant Calmèque arrive, maître.
Menator : Fais-le entrer !
Maïna : Bien. (à Calmèque) Tu peux entrer.
Calmeque : J'ai exécuté vos ordres, maître Ménator.
Menator : Bien ... Ces enfants m'inquiètent, ils sont trop remuants.
Calmeque : Pardon ?
Menator : C'est une très bonne chose qu'ils soient plein de vie, mais s'ils se blessent en s'échappant, ça nous retardera. Je me demande s'il vaut pas mieux les mettre en état d'hibernation.
Calmeque : Je vais faire le nécessaire, maître Ménator.
Menator : D'autre part, où en sommes-nous avec le projet d'augmentation d'énergie. Nous devons un jour être capable de déplacer l'axe de rotation de la terre pour assurer la survie de notre race.
Calmeque : Je sais, maître. Mais nous avons encore beaucoup de mal à capter l'énergie du soleil.
Menator : Et mon remède de purification du sang n'est pas parfait. Il retarde le vieillissement des cellules, mais il ne l'arrête pas. La température de nos laboratoires souterrains est trop élevée pour que les expériences puissent être menées à bien.
Calmeque : Et c'est pour ça qu'il faut que nous trouvions les cités d'or. Les expériences nécessitent beaucoup d'or.
Menator : Les fabuleuses cités d'or ... Si seulement nous savions où elles sont cachées.


Scène 6

Dans le réservoir de purification, les adultes travaillent.
Sancho : Qu'est ce qu'il y a comme mousse. C'est quand même b-b-b-bête que ce ne soit pas de l'o-or.
Pedro : Ne dites pas que je vous l'avais pas dit, hein ! Montagne de malheur, mon vieux ... (Pedro tape avec un marteau pour décoller de la mousse) Oh c'est dur !
Mendoza : (à l'Olmèque resté en haut du réservoir) Puisque c'est le réservoir d'évacuation ici, où l'eau va-t-elle s'écouler ?
Olmeque : Elle sort comme un petit torrent dans une grotte, au pied de la montagne. C'est pas une raison pour arrêter de travailler. Allez ! Au travail !
Mendoza : (tout bas) Donc c'est le chemin par lequel on est arrivé ici.
Pedro : On a remonté le conduit d'évacuation en fait. Mais dis donc, Mendoza, dans le fond il nous suffirait de ...
Mendoza : (à Pedro) Chut !
Mendoza grimpe tout doucement à l'échelle de corde permettant de sortir du réservoir. Un fois en haut, l'Olmèque l'aperçoit.
Olmeque : Halte là !
Un bon coup de poing et l'Olmèque est à terre.
Mendoza : Sancho, Pedro ! Il n'y a personne. Vous pouvez monter !
Pedro : D'accord.
Quelqu'un arrive en courant. C'est Maïna avec l'encyclopédie, le vase de Tao et l'épée de Mendoza. Elle s'arrête devant Mendoza.
Maïna : Ecoute-moi bien, étranger ! Je viens te prévenir qu'Esteban et ses amis vont être congelés.
Mendoza : Qu'est-ce que ça veut dire "congeler" ?
Maïna : On va refroidir leur corps pour conserver leurs cellules d'enfant.
Mendoza : Tu t'appelles Maïna, n'est-ce pas ? Tu n'es pas Olmèque, tu es une Maya.
Maïna : Oui, les Olmèques m'ont enlevée. Ils ont fait de moi une esclave. Sauvez-les ! Et sauvez-moi aussi !
Mendoza : Dis moi où ils ont enfermé Esteban, Tao et Zia !
Maïna : Dans la salle d'opération, dans le souterrain.
Mendoza : Dans la salle d'opération qui est dans le souterrain ... Vous allez m'attendre ici, je vais chercher un moyen de les libérer.
Sancho : Quelle histoire !
Mendoza part en courant.


Scène 7

Dans l'infirmerie.
Tao : Ah ! Allez vous me lâcher ? Mais qu'est-ce que vous me faites enfin ? Laissez-moi ! Je vous dis de me lâcher.
Les Olmèques attachent les enfants sur les civières.
Tao : Arrêtez ! Vous n'avez pas le droit. Mais arrêtez !
Zia : Oh, Esteban ! Oh oh, Esteban, mon dieu, il n'a toujours pas repris connaissance, tu as vu Tao ?
Olmeque : Augmentez la pression d'air !
Une vitre sort des cotés de chaque civière et enferme les enfants.
Tao : Oh !
Zia : Oh Esteban ! (voix étouffée) Esteban ! Oh !


Scène 8

Mendoza arrive près d'une porte gardée. Pichu n'est pas loin, et fait sa toilette.
Mendoza : Des gardes ! Pichu ! Pichu ! Pichu ! Viens ici mon Pichu ! Pichu !
Pichu : (avec des grands yeux étonnés) Quoi ?
On voit passer Pichu devant les gardes.
Pichu : Grand malheur ! Grand malheur ! Y'a un grand malheur ! Le grand malheur ! Grand malheur ! Malheur sur nous tous ! Malheur sur nous tous ! Y'a un grand malheur ! Malheur !
Garde : Qu'est ce qu'il raconte cet oiseau là ?
En s'avançant vers Pichu, les gardes passent devant Mendoza qui n'a aucun mal à les assomer. Une alarme se met en marche.


Scène 9

Près de la tour de cristal.
Olmeque : Attention tout le monde, c'est le signal d'alarme.
Olmeque : Qu'est-ce qui se passe ?
Tous les soldats Olmèques présents près du cristal partent en courant. Mendoza assomme les deux ou trois qui restent et touche à tous les boutons de commande du cristal.


Scène 10

Dans l'infirmerie, Esteban se réveille.
Zia : Esteban, tu vas mieux ? Tu n'as plus mal maintenant ?
Esteban : Oh, Zia ! Mais comment allons nous faire pour nous échapper ?
Tao : Faites-moi sortir d'ici bon sang ! Esteban ! Zia ! Nous allons être congelés comme les cadavres du sous-sol.
Esteban : Nous congeler, Tao, mais qu'est-ce que ça veut dire ?
Tao : Ils vont refroidir nos corps complètement. Ah ! Ils vont faire de nous des cadavres vivants réfrigérés comme ceux qui nous ont fait tellement peur, hier, dans leur sarcophage.
Olmeque : C'est bon. Ammenez-les !
Olmeque : Voilà.
Les enfant sont conduits dans une chambre hermétique couverte de glace.
Olmeque : Tout est prêt, tu peux brancher le cicuit.
Olmeque : Entendu.
La chambre se refroidit très rapidement.
Olmeque : Mais qu'est ce qui se passe ? C'est bizarre !
Olmeque : Qu'est-ce qui se passe ?
Un Olmèque entre.
Olmeque : Il vient d'y avoir un accident. Pour une raison inconnue, le système ne fonctionne plus.
Olmeque : C'est embêtant.
Les soldats Olmèques sortent en courant. Medoza se cachait en fait derrière l'Olmèque qui est rentré prévenir les autres. Il le laisse tomber à terre.
Mendoza : Désolé mon vieu.
Mendoza rentre dans l'infirmerie.
Mendoza : Esteban ! Tao ! Zia !
Mendoza arrive devant la porte de la chambre froide, essaie de l'arracher, puis actionne la manette d'ouverture.
Mendoza : Oh ! Esteban !


Scène 11

Calmèque est près du cristal avec ses hommes.
Calmeque : Dépêchez-vous de faire le nécessaire ! Il est déjà en surcharge d'énergie. Il risque d'exploser.
Des Olmèques d'électrocutent. Ménator arrive.
Menator : Calmèque ! Qu'est-ce qu'il y a ?
Calmeque : Pardonnez-moi, maître Ménator ! Mais nous avons failli.
Menator : Pourquoi l'énergie est-elle si forte ?
Calmeque : Quelqu'un a fermé la soupape de sécurité du système de contrôle, mais tout a été remis en ordre.
Menator : Qui a touché à la soupape ?
Calmeque : Je vais faire une enquête.
Menator : Misérable imbécile ! Est-il besoin de faire une enquête pour savoir qui a fait ça ? Cherchez-le tout de suite et emparez vous de lui !


Scène 12

Les enfants, maintenant libres, s'enfuient avec Mendoza. Ils sont repérés par des Olmèques.
Olmeque : Par là ...
Des Olmèques arrivent de tous les côtés.
Mendoza : Tant pis ! Par là !
Les Olmèques les suivent. Mendoza et les autres entrent dans une sorte de pièce éclairée par deux lampes.
Mendoza : C'est un cul-de-sac.
Esteban : Mendoza !
Mendoza : A plat-ventre ! Vite !
Mendoza ramasse deux cailloux et les lance dans les lampes afin de les casser. La pièce est maintenant plongée dans le noir.
Olmeque : Ils doivent être là. Si vous apercevez le moindre mouvement, percez-le de vos lances !
Mendoza fait tomber un Olmèque en lui prenant les jambes.
Olmeque : Il est là !
Esteban et Tao se mettent à lancer des cailloux sur les Olmèques. Un Olmèque lance une flèche qui va planter la tunique de Tao dans le mur derrière lui, heureusement sans lui faire de mal. La lance ouvre une brèche dans le mur. Une rivière apparait en contre-bas.
Esteban : Il faut sauter dans ce torrent, c'est le seul moyen de nous échapper.
Tao : Ouais, tu as raison.
Mendoza : Zia, vite !
Esteban : Zia !
Zia : Oui ...
Mendoza couvre leur fuite en se servant d'un Olmèque comme d'un bouclier.


Scène 13

Les quatre compères nagent dans le torrent.
Mendoza : Si on suit le courant, on doit arriver à l'établissement filtrant.


Scène 14

Ils arrivent tous près de la cuve.
Pedro : Oh, c'est Mendoza.
Sancho : L-l-les enfants vont bien j-j-j-j'esp-père.
Mendoza : Oui, oui, ils vont beaucoup mieux. Vite, maintenant. Au conduit d'évacuation.
Tao : Attendez, on peut pas partir sans mon vase.
Maïna : Le voici.
Tao : (surpris) Oh ... oh ... oh oh oh ... Oh ça c'est drôlement gentil, y'a mon vase. Oh merci, merci beaucoup. Oh je n'aurais pas pu supporter de les laisser à ces sauvages. Au fait, comment est-ce que tu t'appelles ?
Maïna : Je m'appelle Maïna.
Tao : Maïna ... Ah, c'est un très joli nom, ça je trouve, Maïna.
Zia : (à Esteban) Tu as vu Tao ? D'un seul coup il a l'air séduit.
Esteban : C'est bien la première fois qu'il fait du sentiment.
Pichu : Tu as raison ! Tu as raison ! Tu as raison ! Tu as raison !
Mendoza : Allez dépêchons-nous ! Suivez-moi !
Mendoza descend dans la cuve.
Mendoza : Vous allez vous laisser glisser là-dedans, derrière moi.
Pedro : D'accord, on y va.
Mendoza : Allez !
Mendoza se jette le premier.
Mendoza : N'ayez pas peur, laissez-vous glisser !
Pedro : Attention j'arrive ... chaud devant.
Sancho, Maïna, Zia, Tao puis Esteban suivent le même chemin.


Scène 15

Ils arrivent tous en bas du conduit.
Mendoza : Tout le monde est en un seul morceau ?
Esteban : Ouais, ouais, ça va.
Tao : Ah ah, moi je suis d'accord pour recommencer, c'est marrant.
Mendoza montre le bout de la grotte.
Mendoza : Vous voyez là-bas ? La grotte continue jusqu'au torent. Donc on peut sortir par là.
Esteban : Hé ben, on revient de loin. Vite, dépêchons-nous.
Tao : Ah ça, on revient de loin.
Tous nos amis se précipitent vers la sorie de la montagne.

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Créée le 31 août 1998.
Dernière modification le 6 septembre 1999.