Episode 36 : Bataille en plein ciel


Scène 1

La machine Olmeque vole au dessus du bouclier fumant.
Maya : Qu'est-ce que c'est ?
Maya : Dans le ciel !
Maya : Là, dans le ciel, qu'est-ce que c'est ? Regardez !
Maya : Fuyez !
Maya : C'est une arme des Olmeques.
Les troupes mayas fuient. "Fuyons !" "Vite ! Vite ! Vite !" "Partez !" La machine Olmeque survole les mayas. Un rayon lumineux sort du dessous de la machine. Quand il s'arrête, il ne reste plus au sol qu'un grand cratère.
Gaspard : Mais, j'ai la berlue, seigneur Gomez ! Dites-moi que je ne rêve pas ! Ce n'est pas possible ! Comment une telle chose peut-elle voler ?
La machine se dirige vers les deux espagnols. Gaspard se réfugie dans les bras de Gomez.
Gaspard : Oh !
Gomez : Lâchez-moi ! Idiot !
Le rayon passe tout près d'eux. Sancho et Pedro se relèvent de derrière des rochers.
Sancho : Oh c'est ef-f-f-froyable. Tu as v-v-v-vu la vitesse avec laquelle il a creusé ce trou ?
Pedro : Ca c'est incroyable ! Oh, he, dis donc, bah Mendoza ! Bah où il est ? Tu l'as vu partir, toi ?
Sancho : Hein ? Oui, t-t-tout à l'heure, il est parti dans la montagne.
Pedro : Vers la montagne ?


Scène 2

Mendoza, Tao et Esteban sont en train de grimper sur la montagne.
Tao : He ! Attends, Esteban ! Attends-moi, je te dis enfin ! Ecoute, c'est pas raisonnable, on peut pas vaincre les Olmeques rien qu'avec le grand condor, on n'a pas d'armes, nous.
Esteban : Tu crois qu'on a le choix ? Tu crois que je vais abandonner Zia aux mains de ces affreux Olmeques ?
Les trois héros arrivent au niveau du condor.
Tao : Ce que je te demande, c'est comment on va les combattre ?
Esteban : Ca pour le moment, j'en sais rien. Agissons d'abord, on verra le reste après !
Tao : Tu changeras donc jamais, hein ?
Les enfants sont dans la cabine. Esteban installe l'emblème du soleil. Mendoza n'est pas encore rentré.
Mendoza : Esteban !
Esteban : Pas de temps à perdre, il faut aller délivrer Zia.
Mendoza saute à l'intérieur de la cabine et s'installe à côté d'Esteban.
Mendoza : Bon, d'accord ! Mais tu permets que je vienne avec vous ?


Scène 3

Esteban tire le levier. Le grand condor s'élève dans les airs et se rapproche de la machine Olmeque. A terre, Sancho, Pedro, Gomez et Gaspard regardent la scène.
Sancho : Oh ! Le grand c-c-condor !
Mendoza : Surtout n'oublie pas que nous ne sommes absolument pas armés.
Tao : Tu prends vraiment beaucoup de risques, là, Esteban.
Esteban : Enfin, je vous en prie, essayez de comprendre ! Il n'y a pas que Zia, il y a nous aussi à sauver. Ils nous massacreraient tous.
La machine Olmeque fonce droit sur le condor.
Mendoza : Esteban, attention !
Esteban bouge le levier et parvient à éviter les Olmeques. Le condor rase le sol. Gaspard et Gomez sautent à terre.
Gaspard : Non, mais qu'est-ce qu'il leur prend ? Ils sont malades ! Regardez he !
La machine Olmeque arrive derrière et met en marche son rayon. Les deux espagnols ont tout juste le temps de se précipiter dans un ancien cratère pour éviter d'être touchés.
Gaspard : Ecoutez c-c-commandant, filons d'ici au plus vite ! Parce que c'est trop, j'aime pas ça, moi.
Gomez : Au contraire, il faut rester Gaspard. Car maintenant cette machine Olmeque va nous conduire droit aux portes des cités d'or. Nous n'avons qu'à la suivre.
Dans les airs, la machine Olmeque poursuit toujours le condor.
Sancho : Quel monstre ! Je v-v-v-vois pas comment le c-c-c-on.... pourra l-l-lutter.
Pedro : Mendoza trouvera un moyen, tu peux en être sûr.


Scène 4

Dans le condor.
Mendoza : Maintenant qu'il nous a bien observé, il doit savoir que le condor n'a aucune arme.
Tao : Esteban, regarde !
Esteban : Hein ?
Un hublot s'ouvre sur la machine Olmeque. Derrière la vitre, Esteban peut voir Menator, Calmeque et Zia.
Zia : Oh !
Esteban : Zia !
Zia : Esteban ! Oh !
Menator : C'est parfait. Il l'a aperçut. Maintenant, nous n'avons plus à nous en faire. Où que nous allions, il nous suivra.
Calmeque : Grand Menator, laissez-moi me charger de les forcer à atterrir !
Zia : Non !
Menator : Bonne idée, Calmeque. Vas-y !
Zia : Non ! Ne leur faites pas de mal ! Laissez les !
Menator : Rassure-toi, jeune fille ! Nous allons nous contenter de les faire redescendre sur terre.
Calmeque se met devant un micro.
Calmeque : Chaque homme à son poste de combat !


Scène 5

Dans le condor.
Tao : Ca y est, ils nous poursuivent. Essaie de maintenir une distance constante entre eux et nous.
Mendoza : Un peu plus à droite ... Vite ! Reprends de l'altitude !
La machine Olmeque touche le ventre du condor.
Esteban : Oh !
Tao : Oh !
Et encore une fois.
Mendoza : Oh !
Gaspard et Gomez parviennent à sortir de leur cratère. Mais le condor refait un passage. Le souffle les reprojète en bas.
Mendoza : Vous avez vu comment ils arrivent à manoeuvrer leur engin ? Essaie de les distancer, Esteban !
Les mayas sont toujours dans le coin.
Viracocha : Attention ! Sauvez-vous !
Mendoza : Vite ! Il faut s'éloigner de la montagne du bouclier fumant.
Esteban : Mais où veux-tu que je me dirige ?
Tao : Allons par là !


Scène 6

Esteban arrive au niveau d'une île sur le fleuve. Mendoza regarde derrière et ne voit plus rien.
Mendoza : J'ai l'impression qu'on a réussi à les semer.
Tao : Atchoum ! Oh qu'est-ce que j'ai eu peur, j'ai cru que c'était fini. Mais maintenant, Esteban, comment veux-tu qu'on fasse ? Et où veux-tu qu'on aille ?
Esteban : Hum ...
La machine Olmeque apparaît derrière Tao. Elle se cachait sous le condor.
Esteban : Oh !
Tao : Oh ! Le revoilà !
Esteban : C'est vraiment une machine de mort.
Dans la machine Olmeque.
Menator : Ils ont l'air de très bien manoeuvrer.
Calmeque : Permettez-moi de leur faire peur avec notre arme suprème !
Menator : C'est d'accord, Calmeque. Mais juste pour leur faire peur.
Zia : Esteban ! Oh ! Esteban !
Calmeque : Placez-nous au dessus de leur machine !
La machine Olmeque prend de l'altitude. Le canon sort.
Esteban : Oh !
Esteban évite le rayon de justesse.
Tao : Oh ! Ils sont juste au dessus de nous.
La machine Olmeque tire à plusieurs reprises. Esteban fait faire un looping au condor et passe ainsi au dessus la machine Olmeque.
Esteban : Rien à faire, je ne peux pas leur échapper. Ils manoeuvrent mieux et plus vite que nous.
Tao : Eh reste pas là collé contre eux ! Leur énergie pourrait nous détruire en une fraction de seconde.
Zia : Esteban ! Tao ! Laissez-moi ! Je vous en prie laissez-moi ! Sauvez-vous ! Partez !
Calmeque : He bien dans ces conditions, énergie au maximum.
Tao : Bon, alors, Esteban, qu'est-ce qu'on fait ? On va pas rester là !
Esteban : On va faire un virage en retourné, sur le dos, c'est le seul moyen. Toi, Tao, tu vas prendre les commandes à ma place et tu vas piloter.
Tao : Mais, je sais pas !
Esteban : On va aller essayer de se poser sur le sommet de leur machine.
Mendoza : Mais ce n'est pas possible !
Esteban : Il faut y aller. J'ai aperçut quelque chose en haut qui ressemblait à une porte.
La machine Olmeque s'approche. Esteban tire le levier.
Esteban : Allez !


Scène 7

Le condor vole sur le dos au dessus de la machine Olmeque. La vitre s'ouvre.
Esteban : A toi de jouer, maintenant, Tao ! Je te laisse.
Esteban se laisse tomber au dessus de la machine Olmeque.
Tao : Non, attends-moi ! Je veux venir avec toi !
Tao se laisse aussi tomber.
Mendoza : He !
Esteban arrive à s'accrocher à la machine Olmeque, mais Tao manque de tomber. Esteban le rattrape.
Esteban : Tao ! Accroche-toi ! Tiens bon !
Tao : Oui, mais ...
Menator : He bien, où sont-ils passé ?
Zia : Oh ! Oh !
Calmeque : Ils ont pris de l'altitude, ils sont au-dessus de nous.
Menator : Ou peut-être sur notre arrière. En tous cas, ils ne peuvent pas nous faire grand mal ni aller bien loin.
Esteban arrive à remettre Tao sur le sommet de la machine Olmeque. Mendoza reprend les commandes du grand condor.
Mendoza : Oh la la la la ! Je suis vraiment pas fait pour piloter ce genre d'engin. Donnez-moi un bateau ! Un bateau, je comprends, mais alors un condor.
Le condor heurte la machine Olmeque.
Menator : Qu'est-ce que c'est que ça ?
Calmeque : Là, grand Menator, devant nous, regardez ! Ils descendent.
Menator : Nous les avons touchés !
Zia : Non, Esteban ! Non, pas ça, non !


Scène 8

Mendoza arrive tant bien que mal à se poser dans la forêt.
Mendoza : Ca a pourtant l'air si simple, quand c'est Esteban qui pilote. Hein ? Oh !
La machine Olmeque se pose à côté du condor.
Mendoza : Encore lui ? Décidement, ils sont tenaces, ces Olmeques !
Mendoza prend l'emblème du soleil et part se cacher dans la forêt. La machine est maintenant posée. Des Olmeques en sortent. Menator surveille ça de la cabine de pilotage.
Menator : Bon, allez, assez jouer, allez me les cueillir, maintenant !
Calmeque : Rejouis-toi, jeune fille, tu vas les revoir bientôt tes chers amis.
Zia : Oh ! oh !


Scène 9

Sur le toit de la machine Olmeque, les deux garçons ouvrent une trappe et descendent le long d'une échelle. En bas.
Esteban : A ton avis, on va de quel côté ? On va par là ?
Tao : Ouais.
Les enfants arrivent à un embranchement. Plus loin, des Olmeques discutent.
Olmeque : Rien à signaler ? Tu peux quitter ton poste. Va prendre la garde dans la salle des contrôles.
Olmeque : J'y vais, chef.
L'Olmeque passe devant les enfants sans les voir.
Tao : Chut.
Esteban : Ouf.
L'Olmeque est passé.
Tao : Attends ! Où tu vas, Esteban ?
Esteban : Ah on a qu'à le suivre, il nous conduira au moins à la salle des contrôles.
Tao : D'accord.
Les enfants suivent l'Olmeque. A un moment l'Olmeque regarde derrière lui. Il ne voit rien. Mais plus tard, il revient sur ses pas en tirant son épée. Il ne voit toujours pas les deux enfants qui sont accroupis à terre. Chacun d'eux tirent sur une jambe de l'Olmeque. Ce dernier tombe et s'assome par terre.


Scène 10

Un Olmeque est sur le grand condor.
Olmeque : Je ne comprends pas, il n'y a plus personne à l'intérieur de la cabine de cet engin.
Calmeque : Cherchez partout ! Ils n'ont pas pu aller bien loin. S'ils ne sont plus à bord, ils se cachent tout près.
Menator : De toutes façons, je n'ai pas envie qu'ils nous échappent encore une fois. Ordonne à tes hommes de se préparer à brûler le grand condor, Calmeque.
Calmeque : A vos ordres !
Zia : Oh !
Calmeque : Calmeque à la salle de contrôle.


Scène 11

Dans la salle de contrôle.
Olmeque : Commandant, salle de contrôle, je vous écoute.
Derrière les deux Olmeques aux commandes, la porte s'ouvre et les garçons rentrent.
Calmeque : Nous continuerons la poursuite des enfants au sol. Préparez-vous à brûler le condor !
Olmeque : A vos ordres, commandant.
L'Olmeque regarde son collègue.
Olmeque : Prêt pour le décollage ?
Olmeque : Ils ne les ont pas encore trouvé ?
Olmeque : Oh tu connais les gars du groupe de recherche, ils ne trouveraient pas une vache dans un couloir.
Les enfants tapent sur les épaules des Olmeque. Chacun croit que c'est l'autre qui l'a appelé.
Olmeque : He bien, qu'est-ce qu'il y a ? Parle !
Tao prend les deux têtes des Olmeques dans ses mains et les frappe violemment. Ils sont assomés. Les garçons les transportent au fond de la pièce. Esteban sort son poignard.
Esteban : Je vais les tenir à l'oeil. Essaie de prendre les commandes, Tao !
Tao : D'accord.
Tao s'installe aux commandes.
Tao : Yop là ! A quoi ça sert tout ça ? Voyons voir !
Esteban : Oh, Je t'en prie, dépêche-toi, Tao !
Tao : Oh me dépêcher, mais je voudrais t'y voir, toi, c'est pas évident tous ces boutons.
Esteban : Fais vite, je t'en prie !
Tao : Bon, bon, tu l'auras voulu, hein.
Tao se met à appuyer sur n'importe quoi. La machine se met à vibrer.
Calmeque : Mais qu'est-ce qu'il y a ?
La machine Olmeque se met à marcher sur ses trois pattes. Menator tombe à terre.
Menator : Tu m'enverras les responsables. Je m'occuperai d'eux personellement.
Calmeque : A vos ordres.
La machine décolle et vole dans tous les sens. Tout le monde est secoué.
Tao : Nous disions donc, ça c'est pour ça, et ça c'est pour ça.
Esteban est accroché à des tuyaux.
Esteban : Oh essaie de faire un peu attention, Tao, c'est pas marrant.
Les deux Olmeques de la salle de contrôle reprennent leurs esprits.
Tao : Oh parce que tu crois que je m'amuse, moi ?
Les Olmeques se jettent sur Esteban mais un virage de la machine les envoie contre le mur et les assome à nouveau.
Tao : Cette fois, je crois qu'on y est. Au fond, c'est beaucoup moins compliqué qu'il n'y paraît.


Scène 12

Calmeque arrive en rampant dans la salle des contrôles.
Calmeque : He mais qu'est-ce que vous faites là, vous deux ?
Esteban : Oh, Calmeque !
Calmeque : Comment avez-vous fait pour arriver ici ?
Calmeque sort son épée.
Calmeque : Remarquez, je ne me plains pas, ça va m'éviter d'avoir à vous chercher. Vous vous êtes jetés dans la gueule du loup.
Esteban sort son poignard. Calmeque saute en l'air. Esteban essaie de lui donner un coup, mais il passe bien plus haut et arrive au niveau de Tao. Calmeque lui met son épée sous la gorge.
Calmeque : Ah !
Tao : Oh !
Esteban : Oh, Tao !
Calmeque : He he he ! Maintenant, Esteban, tu vas jeter ton épée.
Tao saisit le bras de Calmeque et le mord violemment.
Calmeque : Aïe !
Tao fait une clé de bras à Calmeque.
Tao : Vas-y, Esteban ! Va chercher Zia ! Ramène-la ! Je m'occupe de lui.
Esteban : Tiens bon, Tao !
Esteban part en courant. Calmeque arrive à se libérer de la prise de Tao sans trop de difficulté et l'envoie contre un mur.
Calmeque : Maudit gosse !
Calmeque se met à poursuivre Esteban, mais s'arrête devant les deux préposés à la salle des contrôles.
Calmeque : He bien vous autres, qu'est-ce que vous attendez pour le ligoter ? Qu'il se relève ?


Scène 13

Esteban court à travers la machine Olmeque. Il passe devant des gardes qui le regarde passer. Calmeque arrive peu après.
Calmeque : Mais qui est-ce qui m'a fichu ces empotés ? Allez-vous me le capturer ?
Olmeques : A vos ordres !
Esteban arrive en vue de la cabine de pilotage.
Esteban : Zia !
Zia : Esteban, par ici !
Menator : Hum ?
Zia pousse Menator et se dirige vers la porte.
Menator : Mais qu'est-ce qui te prend ?
Zia : Attends ! Je vais fermer la porte.
La porte se referme, mais Esteban arrive à passer de justesse en glissant par terre.
Zia : Oh ! Esteban !
Calmeque est les autres Olmeques ne peuvent éviter la porte.


Scène 14

Dans la cabine de pilotage, les deux enfants sont seuls avec Menator. Esteban a sorti son poignard.
Menator : Esteban ! Comment as-tu fait pour t'introduire ici ?
Esteban : Ho, j'étais au-dessus pendant que vous me cherchiez en bas.
Menator : Vois ce qu'il faut faire pour ouvrir la porte, Calmeque.
Calmeque : Oui, maître. Vite les rayons psoleu !
Olmeques : Entendu !
Menator : Hum, hum, hum. Cette fois tu as perdu la partie, Esteban. Dans moins d'une minute, cette porte sera ouverte. Regarde !
La porte est en train d'être découpée grâce à des rayons.
Esteban et Zia : Oh !
Menator : Je t'assure que toute résistance est totalement vaine, Esteban. Jette ton épée !
Esteban se met à taper sur la vitre du hublot avec le manche de son poignard.
Menator : Mais tu deviens fou ? Qu'est-ce que tu veux faire ?
Esteban : Detrompez-vous ! Vous n'avez pas encore gagné.
Le hublot est en train de se briser. Les Olmeques ont déjà découpé plus de la moitié de la porte.
Zia : Oh !
Menator : Esteban, jette ton épée immédiatement.
Esteban : Je ne vous conseille pas d'approcher. Je n'hésiterais pas à m'en servir contre vous.
Les Olmeques rentrent juste au moment où la vitre se brise. Tout un tas de morceaux de verre volent à travers de la pièce.
Menator : Oh !
Esteban : Viens Zia, il faut sauter ! Viens !
Zia : On y va !
Menator : Arrêtez ! Esteban !
Les enfants sautent de la machine et arrivent dans l'eau.
Calmeque : Maître Menator !
Menator : L'intrépidité de ces enfants ne cesse de m'étonner. La rapidité de ton intervention, Calmeque, leur a permis de sauter dans le lac. Va les repêcher. Tu sais que sans ces enfants, la découverte des cités d'or ne nous sert à rien.


Scène 15

Zia est en train de couler. Esteban va la rechercher et monte à la surface.
Esteban : Cramponne-toi bien à moi, Zia !
Esteban nage vers une île.
Esteban : Les Olmeques n'ont pas encore gagné. Pas encore.
Esteban et Zia s'enfoncent dans l'eau.

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Créée le 30 août 1999.
Dernière modification le 6 septembre 1999.