Et voici la fin ...

Épisode 31 : Le village de Virracocha

Mmmmmmm. J'ai pas beaucoup de notes sur cet épisode ... Sur celui d'après non plus. Mais quand même, pour une fois que l'on peut parler de Zia ... Dans cet épisode, il est dit très clairement qu'elle est née à Puna (ou Buna ...). Or sur le radeau construit à partir de l'Esperanza, elle avait dit à Esteban qu'elle venait de Shimon. Une courte mémoire ?

En revanche, là où je leur en veux, à Esteban et à Zia, c'est quand aucun des deux ne réagit lorsque Maïna raconte que sont père adoptif est un étranger qui a beaucoup voyagé. Mais ... Esteban cherche son père, un étranger qui a beaucoup voyagé lui aussi ! Et le père de Zia, ne vient-il pas d'un pays lointain ? Vraiment là je ne les comprend pas ...

Celui que je ne comprends pas non plus, c'est Tohaka. Pourquoi donc enferme-t-il les héros alors qu'il ne les considèrent pas comme des prisonniers ? Qu'ils soient surveillés, à la limite, je veux bien. Mais enfermés ... Après tout, Mendoza, Sancho et Pedro ont aidé Maïna à s'évader. Et les enfant, ils n'ont jamais été menaçants pour quiconque. Esteban s'est même battu (c'était la première fois qu'on le voyait agir avec violence) pour sauver la vie de Maïna. Alors pourquoi tant de haine ?

Je voudrais terminer par cet ordre de Mendoza à Sancho et Pedro. "Vous deux, faites moi du feu avec ce bout de bois." Le bout de bois en question, c'est un vrai bout de bois : minuscule. Enfin sincèrement, le gars qu'est capable de faire du feu avec ça, il s'appelle Mac Gyver !

Épisode 32 : L'offensive des Olmèques

Pfffff Et voilà que j'ai encore rien à dire. Oh l'épisode est très loin d'être inintéressant : on retrouve Gomez et Gaspard, et Zia trouve enfin son père. Qui plus est, les enfants reprennent possession du grand condor. Nan vraiment il se passe beaucoup de choses dans cet épisode. Mais ... rien (ou presque) qui ne vient en contradiction avec le reste. A se demander pourquoi j'en écrit tant que ça. En fait, le seul schmurtz qui cloche, c'est quand Gomez et Gaspard demandent des comptes aux enfants "sur leur dernière rencontre" qu'ils situent à l'attaque qu'ils ont subie du grand condor. C'est marrant, à l'époque ils pensait que ce gigantesque appareil n'était qu'un monstre. Peut-être que la marche qu'ils ont du faire pour venir jusqu'ici les a fait réfléchir. Tiens, au fait, en admettant encore qu'il ait eu le temps de venir jusque là (alors que les héros volaient, ce qui est va plus vite), comment savaient-ils où aller ? Auraient-ils eu des indices qui ont échappés à nos héros ?

Épisode 33 : Le secret des cités d'or

Ah bah voilà un épisode où c'est qu'il y a tout plein d'erreurs de scénario. D'ailleurs il n'y a que ça, alors tant qu'à faire, procédons par ordre. Tout d'abord le père de Zia. Comment fait-il pour décrire les cités d'or ? Comment peut-il dire "C'est vrai qu'elles sont belles" ? J'anticipe sur la suite, mais on apprendra que seuls les médaillons du soleil peuvent ouvrir les portes des cités d'or. Et ces médaillons, le père de Zia ne les avait pas ! Est-ce que c'est un simple pipotage, ou bien a-t-il lu ou vu des descriptions de ces fameuses cités ? Et puis d'abord, comment il a fait pour les trouver ces cités d'or ? En suivant le même chemin que nos héros ? C'est impossible à cause de l'histoire des manuscrits. Comme nos héros les ont trouvés ces manuscrits, cela prouve que Papacamallo n'a pu, comme Tao, lire le message caché. Moi je dis que la seule façon de trouver les cités d'or dans ce cas, c'est de faire comme le prophète voyageur a fait. Mais il emportera ce secret dans sa tombe.

Aussitôt après le décès de Papacamallo Esteban trouve Mendoza bien peu respectueux de la douleur de Zia ; il calcule alors la position de la cité d'or par rapport à l'endroit où ils se trouvent. Mais Tao essaie de faire comprendre à son jeune ami qu'après tout Mendoza est peut-être malheureux, et qu'il cherche l'oubli de l'émotion dans l'activité. Tout comme lui l'avait fait quand il était jeune : à la mort de son père il avait construit des maisons dans les arbres. Euuuuh .... Scuse, mais Tao avait dit que c'était son père et son grand père qui avaient construit les maisons , pas lui ... Alors c'est vrai, il a peut-être pas construit des arbres, mais il s'est occupé : apprendre par coeur son encyclopédie n'a pas du être facile.

Mais venons en aux Olmèques. Ménator plus particulièrement. Dans cet épisode il trouve étrange que le grand condor "une si grande statue" puisse voler. Et pourtant ... Et pourtant il possède lui aussi une machine volante à peu près aussi grosse que le condor. Et v'là-t-y pas que maintenant il veux le grand héritage que ses "ancêtres ont si stupidement cachés dans les cités d'or". Alors comme ça les Olmèques seraient des descendants du peuple de Mu. Autrement dit, des cousins éloignés de Tao ... Intéressant ...

Épisode 34 : La guerre contre les Olmèques

Alors là j'ai beau chercher, je ne vois rien à dire. Pour la peine je vais aller relire le résumé. Juste pour voir si ça me rappelle quelques détails oubliés ... Voilà c'est fait. Ben effectivement j'avais oublié des trucs. Pas grand chose mais quand même. Tout d'abord j'aimerai savoir comment font Gomez et Gaspard pour arriver jusqu'au village de Tohaka sans passer par la base des Olmèques qui est, aux dires de Maïna, la seule route existante ... En fait, je crois qu'ils ont fait comme tous les autres venus des villages voisins. C'est simplement que la seule route existante ne serait pas vraiment la seule ...

Comme je n'ai pas grand chose à dire, je vais encore (hé oui encore) pinailler. Je trouve assez bizarre que les tours construites pas Mendoza en un temps record (décidemment, quand il s'agit de construire quelque chose en bois, dès que Mendoza est dans le coin, ça va vite) qui sont tirées par de très longues cordes, puissent s'avancer aussi près de la montagne du bouclier fumant. Cela m'interpelle quelque part...

Épisode 35: Les Olmèques s'envolent vers les cités d'or

Après la nuit, le jour. Après un épisode où il n'y a rien à dire, voilà que sur celui-là j'ai une page de notes. Je vais commencer par un gros lot sur Gomez et Gaspard, mais surtout sur Gomez. Je ne sais si c'est l'appât du gain, en tout cas ça y ressemble, mais on a l'impression que notre cher commandant déconnecte totalement dès lors qu'il soupçonne (à tort) que les cités d'or sont dans le bouclier fumant. Tout d'abord il se jette tête baissée (en entraînant nos jeunes compagnons) dans le piège que lui tend Ménator. Et en plus, ça n'a pas l'air de le perturber. Ils arriveront bien à capturer (rien que ça !) le chef des Olmèques à un moment où à un autre. Pour des chefs de guerre, je trouve leur tactique bien risquée. Mais là où Gomez exagère c'est quand il demande à Ménator si les cités d'or se trouvent derrière la porte du temple dans lequel ils sont. S'il avait un instant songé que les Olmèques ne savaient pas où se trouvaient les cités d'or parce que justement eux aussi les cherchaient ... Mais je crois qu'à ce moment de l'histoire il ne fallait rien leur demander, à Gaspard et Gomez, même pas se défendre contre 4 ou 5 pauvre petits soldats Olmèques de rien du tout. Heureusement que Mendoza était là !

Alors là je proteste ! Je proteste vigoureusement ! A chaque fois que nos amis on été en danger ils ont couru vers l'endroit le plus haut possible (du moins quand ils essayaient de fuir). Hé bien la seule fois où cette tactique aurait pu s'avérer être la bonne, ils ne l'applique pas ! Ils préfèrent descendre toutes ces marches qui mènent, et le pire c'est qu'ils le savent, vers le piège de Ménator ! Je ne suis pas forcément un Taoïste à 100 pour 100, à savoir que je ne fais pas forcément de plan détaillé d'action avant d'agir, mais quand même, un minimum de réflexion s'impose.

Et vive le renouveau du raisonnement pipo ! Je cite Ménator : "Ces enfants connaissent l'existence du grand héritage, ils savent donc où sont les cités d'or." Mais oui ! Tous les jours ! Ce n'est pas parce que je connais l'existence du trésor caché que je sais où il est caché. Sinon justement il ne le serait pas ... caché. Enfin bon, je me demande bien ce qui fait dire ça à Ménator. Et puis Esteban n'a pas à se reprendre quand il traite Ménator de menteur lorsque celui-ci dit à Gomez que les cités d'or sont derrière le mur, là. C'est le même raisonnement qu'au-dessus.

Enfin il reste la machine volante. Je vois deux choses principales à dire. Nan parce que, comme il m'est arrivé souvent de le faire, je passe sous silence des contradictions qui peuvent trouver une explication toute simple et c'est ce que je vais faire. Toutefois, voici une machine dont seul Ménator connaissait l'existence et que pourtant les Olmèques de la salle de contrôle pilotent parfaitement bien. Pour des gens sans expérience, c'est pas mal, c'est pas mal ... Je trouve aussi que Ménator est bien peu respectueux de sa base. Il la détruit quasiment ! Rien qu'en sortant l'appareil de sa cachette, tout le bas de la montagne est littéralement explosée par le passage de l'engin.

Épisode 36 : Bataille en plein ciel

Oh la la ! Il reste 4 épisodes et je n'ai qu'une seule remarque par épisode ... Ici il s'agit de Ménator (encore lui !) qui ne s'oppose pas tellement à la fuite d'Esteban et de Zia. Il aurait suffit qu'il prenne le bras du jeune garçon pour gagner les quelques secondes nécessaires à l'arrivée de Calmèque. Au pire, s'il se sentait trop vieux pour résister à la fougue de cette jeunesse, il aurait pu tout simplement fermer le hublot qu'Esteban essayait de casser. Il aurait suffit ...

Épisode 37 : Aux portes des cités d'or

Enfin la cité d'or ! Depuis le temps qu'on en parlait ! Et elle est là ! Et sa légende aussi ! Car je respecte beaucoup les habitants du peuple de Mu, ainsi que les Atlantes. Je trouve formidable qu'ils aient pu dominer ainsi la force du soleil. Leurs civilisations étaient ainsi très évoluées. Ils avaient même des armes formidables. De vrais lasers comme dans les meilleurs films d'action, des machines volantes que G. Lucas n'aurait pas refusé pour sa Guerre des Étoiles et des canons laser à la Albator. Et avec tout ça, on voit tout ce joli monde combattre ... en pagne ! J'aurais pas voulu être à leur place ...

Épisode 38 : Les cités d'or s'éveillent

Gomez, toujours Gomez. Je pense vraiment qu'il a fait une rupture d'anévrisme à l'épisode 35. Parce que là, même Gaspard se rend compte que ce qu'ils font (à savoir voler de l'or de la cité d'or) n'a pas grand intérêt. Mais non Gomez, lui, il continue, il insiste. Qu'importe qu'il y ait plus d'or qu'il ne pourra jamais en transporter. Il lui en faut le plus possible tout de suite. Pauvre Gomez ! Devenir fou à son âge !

Épisode 39 : Le grand héritage

Même si j'en ai vu là bas (oui vous là bas au fond Yannick et les autres) qui n'aiment pas ce dernier épisode, moi je l'aime bien. Au moins il a l'avantage d'en terminer avec les Olmèques, le docteur et sa clique, et la première cité d'or. Et en plus je le trouve très ouvert. On ne voit pas mourir Gaspard et Gomez qui ont déjà survécu à catastrophes plus grande. On ne sait pas ce que vont faire Sancho et Pedro de tout cet or. Vont-ils retourner en Espagne ? Et Mendoza ? Lui qui apprécie tant ces enfants, que va-t-il devenir ? Au fait, qu'est-ce qui pousse donc bien nos jeunes héros à repartir aussi vite ? Maintenant que tout danger est passé, ne peuvent-ils prendre quelques jours de repos ?

Rassurez-vous, il existe au moins une bizarrerie dans cet épisode. Si vous aviez à transporter rapidement un grand prêtre pour qu'il puisse sauver le monde, combien feriez-vous ? Vous disposez d'une cité d'or, de beaucoup de bras, de bois, de planche, d'outils, de Mendoza, d'Esteban, et d'un grand condor en état de voler. Alors ? Alors ? Bah oui ! Vous construisez une civière portée à dos d'homme. Comme eux ! Tout est donc bien qui se termine bien.

Au cas où vous auriez commencé par la voilà, sachez que vous pouvez lire aussi :

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Créée le 27 août 1998.
Dernière modification le 8 août 2000.