Épisode 6 : Le message secret


Scène 1

Les trois adultes arrivent sur la plage en radeau. Ils découvrent des empreintes dans le sable.
Mendoza : Regardez ! Quelqu'un qui venait de la mer a laissé ses empreintes dans le sable. Esteban est peut-être arrivé jusqu'ici.
Pedro : Esteban ? Tu crois vraiment ?
Mendoza : Par la taille des empreintes, c'est possible, oui.
Sancho : Mais c-c-comment aurait-il pu nager s-s-si longtemps.
Mendoza : Ah ! Ce garçon n'a pas fini de nous étonner. Mettons-nous en route ! Si c'est bien Esteban il fut absolument le retrouver.
Sancho et Pedro : Courons ! Courons ! Courons !


Scène 2

Les trois enfants finissent de manger, la corbeille de fruits est vide.
Esteban : Ah ! Ah j'ai le ventre plein.
Zia : Oh c'était vraiment bon. Merci Tao !
Tao : Bon, je vais vous faire visiter le château, et le roi de ce château dans les arbres, eh ben c'est moi ! Ah ah ! Mais je suis toujours tout seul et c'est triste.
Zia et Esteban : Oooooh !
Les trois enfants sortent de la cabane.
Esteban : Je n'ai jamais vu de château comme celui-ci.
Tao : Oh mais on peut monter tout en haut par l'escalier.
Tao prend Zia par la main
Tao : Suivez-moi ! Vous allez voir. Il a fallu plusieurs dizaines d'année pour construire tout ça. Mon grand père a commencé. Et mon père, après lui, a achevé la construction. Mais il est mort quand j'étais petit, et depuis ce temps là, ben je suis toujours tout seul.
Zia : Mais tu as du drôlement t'ennuyer tout seul, sur ton île.
Tao : Non, pas du tout. Vois-tu, avant de mourir, ben mon père m'avait dit qu'un jour tu viendrais ici. Et il avait raison, tu es bien venue.


Scène 3

Tao s'assied dans un fauteuil en rotin.
Tao : Oh Zia ! Tu es celle que j'attendais.
Zia : Moi ?
Tao : Ah oui, il faut que je vous explique, parce que c'est une légende. Une jeune fille aux yeux noirs doit venir dans cette île un jour précis et c'est elle qui nous conduira vers les terres de l'est.
Zia : Mais comment peux-tu être sûr que c'était moi ?
Tao : Oh le jour prévu était justement hier. Alors quand je t'ai vue débarquer, hier avec les autres, j'ai su que c'était toi.
Zia : Mais c'était par hasard : c'est la tempête qui nous a détournés, on n'avait pas décidé de venir ici.
Esteban : Elle a raison. C'est tout à fait par hasard que nous avons débarqué sur cette île.
Tao : Ah non, tout était prévu. Le hasard n'a rien à voir la dedans, c'était écrit ! Allez, venez ! Je vais vous montrer quelque chose. Mais venez ! Suivez-moi !


Scène 4

Les trois enfants grimpent tout en haut de l'arbre et arrivent dans une cabane dans laquelle il y a plein d'objets étranges.
Esteban : Oh !
Esteban aide Zia à monter, mais Tao le pousse pour prendre sa place.
Esteban : Hé !
Zia : (à Tao) Merci. Oh !
Tao : Qu'est-ce que vous dites de tout ça, hein ?
Esteban : Mais qu'est-ce que c'est ?
Tao : Oh des tas de choses que j'ai trouvées dans cette île. Mon père me disait que c'était des souvenirs de nos ancêtres, des souvenirs d'il y a 20000 ans !
Esteban : Des souvenirs de y a 20000 ans ? Ah ah ah ! Quelle blague ! Ah ah ah !
Tao : Ouais, ben si mon père me l'a dit, c'est que c'est la vérité.
Tao s'avance vers un coin de la pièce et pousse Esteban
Tao : Mais au lieu de rire, regarde plutôt ça!
Tao montre à Esteban quelque chose qui ressemble à une chaise roulante.
Tao : Eh bien ça a été fabriqué d'après ce dessin là.
Tao fouille dans une pile d'objets et en tire un parchemin sur lequel il y a un dessin de vélo.
Esteban : Tu peu lire ça, toi ?
Tao : Ouais, un peu.
Pichu : N'oublie pas l'honneur du peuple de Mû !
On voit un perroquet qui bat des ailes.
Tao : Ah n'ayez pas peur ! C'est Pichu, mon compagnon. Il est un peu fâché parce que j'ai oublié de lui donner à manger.
Pichu : N'oublie pas l'honneur du peuple de Mû !
Esteban : Oh ! Quel drôle d'oiseau.
Tao donne des graines dans sa main à Pichu.
Tao : On peut sortir si vous voulez. Il y a une très jolie vue d'ici.


Scène 5

Esteban, suivi de Zia, sort de la cabane.
Esteban :(apeuré) Oh !
Zia : Oh ! Oh c'est magnifique. Tu as vu Esteban ? On voit toute l'île.
Esteban : Oui, c'est très beau. Très beau.
Zia : Comme la mer est calme. Quand je pense à la tempête qu'on a rencontrée dans le détroit. Oh !
Zia fait le tour de de la cabane pour voir tout l'île. Esteban la suit en regardant le mur. Il se cogne à Tao.
Tao : Eh là ! A quoi tu joues ? Tu n'admires pas la vue ?
Esteban : J'aime pas beaucoup ça Tao, j'ai un peu le vertige.
Tao : Ah bon ? (Tao regarde Esteban trembler) Oh dis donc ! Ah ah ah ah ! Mais est-ce que c'est le même Esteban qui est venu ici à la nage ?
Esteban : Ah ah ah !
Esteban, d'un coup sérieux, montre sans se retourner une colline derrière lui.
Esteban : La colline qui est là-bas, elle a une drôle de forme, non ?
Tao : Ah tu as remarqué ça sans même regarder le paysage ? Ça alors ! On l'appelle le cap de la lune. Elle a la forme d'un croissant comme la lune certaines nuits.
Esteban : Oui mais c'est drôle ... On dirait qu'on en a enlevé un morceau.
Tao : Mais comment as-tu bien pu voir une chose pareille ? T'as des yeux derrière la tête ou quoi ? En tout cas, tu as raison. On dit que c'est l'empereur de Mû qui l'a fait tailler.
Zia : L'empereur de Mû ?
Tao : Hé oui Zia ! L'empire de Mû était le plus vieux continent de la Terre. A l'époque où le monde entier n'était qu'un immense continent, il y avait de l'autre coté de la mer un grand pays une sorte d'île. C'était un pays très moderne. Il y avait des machines qui couraient plus vite que les animaux les plus rapides et des machines capables de voler. Puis un jour la terre toute entière s'est mise à trembler et l'île a disparue au fond de la mer. Mais grâce à ses prédictions, l'empereur de Mû savait depuis longtemps ce qui allait arriver. Alors, pour que ses descendants puissent un jour bâtir un monde nouveau, il avait créé 7 cités d'or avant le cataclysme.
Zia : 7 cités d'or ?
Esteban : Eh mais c'est ce que Mendoza et ses amis recherchent aussi.
Tao jette un regard méchant à Esteban.
Zia : Et toi, Tao, tu es l'un des descendants de ce peuple, n'est-ce pas ?
Tao : Oui. Et c'est la raison pour laquelle je dois retrouver les cités d'or. Mais la cité d'or la plus proche d'ici se trouve, paraît-il, au milieu du continent de l'est
Zia : Tao, mon père est un grand prêtre sur le continent de l'est.
Tao : Bien sûr, je sais, c'est une personne très importante. Mais je sais aussi qu'un grave danger s'approche des 7 cités d'or. Et pour sauver le monde toutes les villes doivent s'associer pour combattre cette menace. Et il faut faire vite ! Car la prédiction dit aussi qu'une des cités d'or sera détruite par des hommes à la peau blanche. Par tes amis à toi Esteban !
Esteban : Oh ! Tao !
Tao sort la carte marine de dessous sa cape.
Tao : Quand j'ai vu ça, j'ai d'abord été très surpris : je n'avais jamais vu une si belle carte marine. Comment avez-vous pu dessiner une carte aussi parfaite ?
Esteban : Je te jure que je n'en sais rien, Tao.
Tao : Et qui sont ces adultes avec qui tu es venu ?
Esteban : Oh Mendoza ? C'est un navigateur, un pilote. Il est un peu brutal, mais je ne crois pas qu'il soit méchant.
Tao sort le pistolet de sa cape.
Tao : Et ça, qu'est-ce que c'est ?
Esteban : Hé n'appuie pas Tao ! Fais attention, c'est dangereux ! Y'a une balle dedans !
Tao : Une balle ? Qu'est-ce que tu veux dire ? Et d'abord comment ça marche ?
Tao pointe le pistolet vers Esteban.
Zia : C'est dangereux ! Tao !
Tao : Est-ce qu'on appuie comme ça ?
Tao tire.
Esteban : Non Tao !
Zia : Ah !


Scène 6

Les trois adultes courent dans la forêt. Entendant le coup de feu, ils s'arrêtent, juste à côté de l'arbre de Tao.
Mendoza : Quoi ?
Pedro : Un coup de feu en pleine forêt ?
Sancho : J-j-j-e n-n-n-n'aime pas ça. Ça fait p-p-p-peur.
Mendoza : Allons voir ce que c'est !
Mendoza part en courant.
Pedro : (à Sancho qui s'accroche à son T-shirt) Ne me touche pas !
Sancho : (qui retient Pedro par son T-shirt) Pedro, soit gentil ...
On voit Esteban, allongé, les bras en croix devant Tao et le pistolet fumant. Esteban se redresse avec, au dessus de lui, l'impact de la balle.
Zia : (rassurée) Oh !
Tao : (tremblant de tout son corps) Aaah !
Tao, dans un mouvement de peur, lance le pistolet par dessus la rambarde.
Esteban : Tao !
Le pistolet arrive à terre et Mendoza s'en saisit.
Pedro : (aveuglé par son T-shirt que Pedro tient toujours) Mendoza ! Mendoza au secours ! Où es-tu ? Mendoza aide-moi !
Mendoza : Regardez ! Zia est là haut.
Tao : C'est donc avec ça que vous comptez prendre les cités d'or ? Viens Zia !
Tao prend Zia par la main et l'emmène avec lui, laissant Esteban tout seul.
Zia : Ah !
Esteban les poursuit mais ils montent dans une petite cabine qui leur sert d'ascenseur, semant ainsi Esteban.
Esteban : Tao ! Tao, Zia, revenez !
Esteban retourne alors en arrière et descend les escaliers.
Pichu : Sauve qui peut ! Sauve qui peut ! Sauve qui peut !
Mendoza voit Tao et Zia s'éloigner dans la cabine. Mendoza charge son pistolet et s'apprête à faire feu. Esteban arrive en courant.
Esteban : Non, non, arrête ! Attends ! Ne tire pas ! Ne tire pas Mendoza !
Mendoza : Esteban !
Pedro : Et Zia ?
Esteban : Ne vous inquiétez pas, je suis sûr de savoir où ils sont partis.


Scène 7

Dans la forêt, Tao force toujours Zia à la suivre en courant.
Zia : Tao !
Ils s'arrêtent.
Zia : Attends Tao ! Pourquoi s'enfuir comme ça ? Où allons nous ?
Tao : Oh, tu verras bien quand on y sera ! Il y a quelque chose que je veux absolument te montrer.
Mendoza, Sancho, Pedro et Esteban courent eux aussi dans la forêt. Ils s'arrêtent pour discuter.
Mendoza : Cet enfant est à peu près de la même taille que toi, Esteban ?
Esteban : Oui.
Pedro : J'espère que tu vas lui montrer qui tu es à ce sale gosse. Il nous a fait peur. Il n'y a qu'à lui tirer un bon coup de fusil.
Sancho : Y'a qu'à !
Esteban : Non, il ne faut surtout pas faire ça. Le problème est justement qu'il a peur de nous.
Mendoza : Vraiment ? Dans ce cas, pourquoi a-t-il enlevé Zia ?


Scène 8

Le petit groupe arrive en haut d'une colline surplombant le cap de la lune.
Mendoza : Regardez ! Un cap en forme de croissant de lune.
Pedro : Hé mais c'est là que je les ai trouvés !


Scène 9

Tao et Zia marchent tranquillement dans une grotte.
Tao : Oh Zia ! Il faut que tu m'emmènes vers les terres de l'est grâce à ton pouvoir.
Zia : Mais Tao, je n'ai aucun pouvoir, je suis incapable de faire ça.
Tao : Mais si tu peux le faire, il suffit que tu me déchiffres le message secret.


Scène 10

L'autre groupe arrive devant l'entrée de la grotte.
Pedro : Attention, Mendoza, c'est pas prudent, et s'il y avait un gros gros monstre à l'intérieur ?
Sancho : Un gros gros ? Ben on ferait p'têt mieux de faire demi t-t-tour ...
Mendoza : Voyons du calme ! Vous voyez bien que cette caverne est artificielle !
Pedro : Tu veux dire que c'est les hommes qui ont fait cette caverne ?
Mendoza : Regardez bien les parois et vous verrez que ces pierres ont été assemblées par des hommes !
Sancho et Pedro s'approchent et regardent pendant que Mendoza et Esteban s'avancent dans la caverne.
Pedro : Oh oui ... Hé attendez-nous !
Sancho : A-a-atendez-nous !


Scène 11

Le petit groupe avance dans la grotte qui a maintenant changé d'aspect. L'architecture est différente : les pierres ont des formes géométriques plus ou moins compliquées et sont très bien agencées les unes par rapport aux autres.
Mendoza : Ceux qui ont construit cette caverne devaient avoir du génie, c'est un véritable labyrinthe. C'est incroyable !
Pedro : C'est bouché là aussi, on peut pas passer.
Tao et Zia arrivent dans une grande salle. Derrière un autel tout en haut de nombreuses marches se trouve un représentation immense d'une sorte de Dieu.
Zia : Oh ! Viracocha !
Tao : Allez viens ! Monte là-haut avec moi !
L'autre groupe est toujours perdu dans le labyrinthe.
Sancho : Y'a des imp-p-p... Y'a des impasses partout hé !
En haut de l'autel, Tao ouvre un sarcophage et en sort un vase en or.
Tao : Tu vois ce pot ? Eh bien il est impossible de le casser. La légende dit que seul le grand prêtre des cités d'or a le pouvoir de le briser.
Tao sort un quipu du sarcophage.
Tao : Voilà c'est le message secret dont je t'ai parlé. Il parait qu'il contient toutes les explications pour aller dans les terres de l'est.
Zia : Mais c'est un quipu ! Comment est-il arrivé ici ?
Tao : Tu sais lire ça ?
Zia : Je crois, je vais essayer.
Zia déchiffre le quipu.
Zia : "Solaris" ... "le vaisseau" ... "de l'empire de Mû" ... "dort dans les flans de la montagne" ...
Tao : Oh, comme dans la légende ...
Zia : ... "quand le tonnerre grondera dans les profondeurs de la terre" ...
Tao : Oh ...
Zia : ... "les scellés se briseront et le vaisseau Solaris renaîtra dans la mer".
Tao : Et ensuite ?
Zia : C'est tout, il n'y a plus rien.
Tao : Oh !
Tao en tombe de surprise.
Tao : Voyons ... le tonnerre grondera sous la terre ...
Zia : Oui, c'est bien ce que dit le quipu, mais je ne comprend pas mieux que toi.
Tao : Oh mais ça ne veut rien dire. Oh oh Bon sang ! Même maintenant que tu m'as déchiffré le quipu, oh, je ne suis pas plus avancé, je n'y comprends toujours rien. Ooh !


Scène 12

Une voix au loin, celle d'Esteban.
Esteban : Zia ! Tao !
Les trois adultes accompagnés d'Esteban rentrent dans la grande pièce.
Esteban : Ils sont là haut Mendoza. Zia, ça va bien, t'es pas blessée ?
Tao : Partez d'ici ! Si vous ne vous en allez pas, j'appelle le monstre du temple à mon secours ! (une demi seconde plus tard) Bon, vous l'aurez voulu.
Tao tire sur un anneau qui était au fond du sarcophage. Un grand porte s'ouvre et un iguane géant en sort.
Esteban : Oh !
Sancho et Pedro : Oooohhh ! Oh Mendoza !
Tao : Si vous ne voulez pas qu'il vous dévore, allez-vous en tout de suite !
Mendoza, serein, tire une balle qui rebondit sur la tête sur monstre. Le bruit du coup de feu raisonne ce qui fait stopper l'animal.
Sancho : Oh mes tym-tym ... Oh mes tympans !
Mendoza : Oh c'est l'écho de la détonation.
Le bruit s'estompe, le monstre recommence à se rapprocher.
Pedro : Il ... il ... il vient vers nous.
Le bruit reprend, plus fort cette fois.
Zia : Tao écoute, c'est ça, ça y est "le tonnerre dans les profondeurs de la terre".
Tao : Qu'est-ce que tu dis ?
Zia : Écoute bien ! C'est exactement comme le tonnerre.
Mendoza : Attention ! Ce bruit est beaucoup plus dangereux que le monstre lui-même.
Les murs commencent à s'écrouler sur les héros.
Zia : Oooh !
Tao : Oh ! Zia !
Tao prend le vase d'or. Un morceau de plafond s'écroule sur le monstre. Derrière la représentation du Dieu, le mur s'écroule, laissant apparaître la proue d'un navire.
Mendoza : Esteban, regarde !
Zia et Tao descendent les marches.
Tao : C'est la fin ! le temple va s'effondrer. (Tao pousse Zia à terre alors qu'un gros bout de plafond leur tombe dessus) Zia sauve-toi !
Tao se retrouve coincé sur la pierre.
Zia : Mon dieu ! Tao !
Esteban : Tao !
Tao : Ne vous approchez pas, vous allez vous faire écraser !
Mendoza : Pedro, Sancho, venez ici et aidez-moi !
Tout le monde soulève le caillou alors qu'Esteban tire Tao par les bras. Ils arrivent ainsi à libérer Tao et tous s'enfuient par l'ouverture créée par le bateau.


Scène 13

Un bout du cap de la lune commence à s'enfoncer dans l'eau. Un beau et grand bateau apparaît sur l'eau. Les héros sortent tous sur une mini-plage, Solaris jette l'ancre et tout le monde regarde le navire.


Scène 14

Sur la plage.
Tao : C'est le bateau du peuple de Mû, le bateau de mes ancêtre. Oh je savais qu'il était là !
Zia : Oui, c'est ce que disait le message du quipu, mais il n'expliquait pas comment il fonctionnait.
Mendoza : Oui, c'est vrai, tout est tellement différent ici, il faut absolument qu'on monte sur ce bateau, peut-être qu'on y verra plus clair.
Esteban : Et toi Tao, si vraiment tes ancêtre étaient aussi fort que tu le dis, ils auraient quand même pensé à laisser à leur descendants des indications sur le fonctionnement de ce bateau.
Tao : Mais bien sûr que je sais comment il marche ce bateau, qu'est ce que tu crois ?
Mendoza : Ouh la la la la ! Tu n'en n'as pas l'air très sûr. Heureusement, je suis pilote, navigateur, la mer n'a aucun secret pour moi. Avec l'aide de Pedro et de Sancho je crois qu'on arrivera à faire avancer ce navire.
Tao : D'accord.
Pedro : Et non, hé ! Pas moi Mendoza !
Sancho : Hé non, par pitié !
Esteban : Tao ?
Tao : Bon d'accord, puisque vous insistez, je vais vous montrer le secret de mes ancêtres.
Sancho et Pedro : (sautant de joie) Ah ah ah ! Il va nous montrer ! On va tout savoir !
Zia : Solaris nous mènera vers mon pays ! Oh, que je suis heureuse.

Le prochain épisode ...

Nos amis ont découvert Solaris, vaisseau énorme et mystérieux. Mais un navire espagnol est en vue, il se rapproche rapidement d'eux. A bord du galion espagnol, Gomez donne l'ordre de tirer au canon sur le navire d'Esteban. Pour échapper à leurs poursuivants, nos amis doivent découvrir le secret de Solaris. Ne manquez pas le prochain épisode des mystérieuses cités d'or.

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Créée le 17 août 1999.
Dernière modification le 24 août 2000.